Adopter un chien diminue les risques de trouble cardiaque
Les animaux de compagnie offrent de nombreux avantages aux gens, notamment la compagnie et l’amour inconditionnel. Mais saviez-vous qu’avoir un animal de compagnie peut également améliorer votre santé physique ? Des études montrent que le fait de posséder un chien peut en fait réduire le risque de maladie cardiaque. Voyons comment l’adoption d’un chien peut favoriser la santé cardiaque
La science derrière tout ça
Une étude publiée dans Circulation : « Cardiovascular Quality and Outcomes » a révélé que les propriétaires de chiens avaient un meilleur profil cardiovasculaire global que les non-propriétaires. Cela signifie que les propriétaires de chiens ont tendance à avoir une tension artérielle plus basse, un taux de cholestérol plus faible et un indice de masse corporelle (IMC) plus sain. Ces facteurs combinés réduisent de 24 % leur risque de développer une maladie cardiaque.
Pourquoi en est-il ainsi ?
Il s’avère que le fait d’avoir un animal de compagnie peut être bénéfique pour notre santé mentale comme pour notre santé physique. Les chiens nous permettent d’évacuer le stress, nous tiennent compagnie et nous motivent à rester actifs. Ils nous font rire plus souvent, ce qui nous aide à nous déstresser, ils nous aident à rencontrer de nouvelles personnes lors de nos promenades ou dans les parcs pour chiens, et ils nous motivent à nous lever du canapé et à sortir plus régulièrement pour faire de l’exercice. Toutes ces choses se combinent pour rendre la vie plus saine pour leurs maîtres !
Le rôle de la génétique
Outre ces changements de mode de vie, un autre facteur peut contribuer à l’amélioration du profil cardiovasculaire des propriétaires d’animaux : la génétique ! Les chiens sont élevés spécifiquement pour certaines caractéristiques telles que leur taille, la couleur ou la texture de leur pelage, leur comportement (obéissance ou agilité), etc .
Une étude menée sur les labrador retrievers a montré que la race avait une prédisposition génétique à avoir moins de complications dues aux maladies cardiaques que les autres races. Cela pourrait signifier que si vous adoptez l’une de ces races spécifiquement pour ses bienfaits sur la santé cardiaque (ce qui n’est pas recommandé !), vous pourriez également récolter quelques bénéfices supplémentaires de ses gènes !
Adopter un chien pour éviter les soucis ?
Bien que cela puisse sembler tiré par les cheveux, adopter un chien pourrait réduire les inquiétudes liées aux problèmes cardiaques. Des études montrent que les propriétaires d’animaux ont tendance à avoir un mode de vie plus sain que ceux qui n’en ont pas, car ils font régulièrement de l’exercice en promenant leur chien et en jouant avec lui, ce qui est bon pour le cœur.
En outre, la compagnie d’un animal fidèle peut contribuer à atténuer la dépression et à prévenir d’autres maladies liées au stress, qui peuvent parfois se manifester par des formes dangereuses de maladies cardiaques.
L’engagement qui accompagne la possession d’un animal de compagnie encourage également son propriétaire à prendre davantage soin de lui-même, par exemple en mangeant plus sainement et en dormant suffisamment, ce qui peut avoir des effets positifs sur la santé cardiaque à long terme.
Conclusion & Avis
Adopter un chien offre de nombreux avantages qui vont au-delà de la simple compagnie – il peut aussi améliorer votre santé physique ! Des études montrent que les propriétaires de chiens ont tendance à avoir un meilleur profil cardiovasculaire général que les non-propriétaires de chiens, ce qui réduit de 24 % le risque de développer une maladie cardiaque. Avoir un animal de compagnie peut aider à réduire les niveaux de stress, encourager les activités extérieures comme la marche ou la course avec votre chiot, et même apporter des avantages génétiques selon la race que vous choisissez. Si vous cherchiez une excuse pour ramener un compagnon à quatre pattes à la maison, vous en avez maintenant une ! L’adoption d’un chiot pourrait être la solution idéale pour améliorer votre santé cardiaque globale.
